La culture est donc ici considérée comme une ressource stratégique de développement, une ressource pour l’économie et l’emploi, pour l’identité des territoires et la cohésion sociale.

Mais ce qui fonde la singularité et l’intérêt d’une telle structure réside dans la reconnaissance de son utilité sociale par agrément préfectoral.

Une autre façon d’entreprendre

Au croisement de l’économie sociale et solidaire, la SCIC est une nouvelle forme d’entreprise qui :

• Permet d’associer autour du même projet des acteurs multiples (salariés, bénévoles, usagers, collectivités publiques, associations, entreprises, particuliers…)
• Produit des biens et des services qui répondent aux besoins collectifs d’un territoire
• Respecte les règles démocratiques et coopératives (répartition du pouvoir sur la base 1 personne = 1 voix et maintien des résultats dans l’entreprise sous forme de réserves impartageables)
• S’inscrit dans une logique de développement durable et local
• Est ancrée dans son territoire
• Présente un intérêt collectif et un caractère d’utilité sociale, définis par son objet social.

Plus d’informations sur les SCIC : http://www.les-scic.coop/sites/fr/les-scic/

Les acteurs de TURBUL’LANCE

Au nombre de 85, les sociétaires de la SCIC TURBUL’LANCE sont répartis dans différents collèges :

• Membres fondateurs
• Particuliers et Associations
• Salariés
• Collectivités
• Entreprises

Au cours de l’assemblée générale constitutive, les associés ont élu un Conseil d’Administration qui a, à son tour, élu un Président Directeur Général.

TURBUL’LANCE emploie actuellement une salariée à temps plein et génère en plus 2 Equivalents Temps Plein sur l’année par ses différentes activités.